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6 Octobre, Ismahen
Les rues était bien calme au point de rendez-vous qu'Ismahen avait fixer. Pas âme qui vivent et pourtant, il ne pouvait s’empêcher de regarder partout au alentours, ayant l'impression d'être épié, voire piégé et ces intuitions étais juste. Deux homme arriva par la rue nord, Arme en mains; le priant de se rendre. Les deux hommes en veston cravate avança tranquillement vers notre journaliste quand l'un d'eux leva son poignet vers son visage et somma son compagnon de s’arrêter.
L'on pouvais entendre derrière une
moto arriver en trombe. Sur ce fait, les agents n'ont pas eut le
temps de se retourner que le motocycliste avait déjà faucher l'un
d'eux à coup de bâton. Ismahen sprinta vers la première porte,
entrants dans l’entre d'un édifice à bureau. Deux coups de feux
retentis derrière lui quand le garde à l'entrée l'interpella, il
ne fallut pas de temps pour que celui-ci sortis son armes, mais en
vain puisque notre héros avait déjà mais les voiles vers le
premier couloir, bifurquant dans une salle de bureau bondé. Dans un
éclaire, il retira son veston de cuire marron et entra dans un
cubicule temporairement vide et simula un travail de bureau. Quel
génie se trouvait-il. Durent le moment que le garde se mit à le
chercher, il rebroussa chemin, le veston sous le bras.
Sa victoire fut de courte durer car
l'agent venais de faire son apparition dans l'entrer de l'édifice et
encore une fois, Ismahen dut ruser pour détourner l'attention en
vain. Pris en souricière entre la sécurité du bâtiment et
l'agent, il ne peut faire autrement que de retourner dans les bureaux
et courir vers la verrière. Un premier coup de feux coupa son élans
quand les balles lui siffla si près de la tête que son pavillon
d'oreille en fut percé. Par réflexe, il se jeta contre le sol
tendis que les masse pris panique dans les couloirs du bureau. Le
garde de sécurité qui étais déjà sur place, mis enjoue le tireur
et le sommant de déposer son arme.
Tendis qu'une fusillade éclata entre
les deux hommes, une dame aida notre journaliste à s'extirper du
couloir vers les cellules de réunions un peut plus à droite. De
tout évidence, elle le reconnus via les médias.
« Comment vous appelez vous
mademoiselle? Demanda t-il en tout courtoisie. Je ne crois pas vous
connaître.»
Tendis qu'elle jubilais en tentants de
dire son nom, Il gardais un œil sur la situation. Au travers des
milles paroles de la jeune dame, il fit un sourie en coin et lui dit
:
« Vous m'excuserez, mais je ne peut
rester plus longtemps. »
Galvaniser par le plaisir de la jeune
dames, il pris une chaise et tenta de fracasser la vitre qui menais
au trottoir mais celle-ci étais plutôt solide. Tendis qu'il resta
pantois, elle ne perdit pas une seconde et s'élança à son tours
avec un instructeur au rythme de la fusillade. Malgré leur efforts,
la vitre resta inchangé.
« On ne bouge plus! »
L'homme en veston noir les prenais en
joue. Ce dernier étais mal amocher. La fusillade l'avais percé
à la cuisse et au ventre. Les trois ce scrutais sans broncher
ou presque. Aussi étonnant que cela puisse paraître, Ismahen pris
une pose décontracté, s'appuyant contre le dosseret de la chaise.
« Une arme à poudre? Ce n'est pas
Banale de voir un revolver de nos jours... Vous avez tirer quoi, deux
coup à l'exterminateur et quatre ici. »
Cinq, repris la dame.
« Sept balles sur un sept coups.
Baisse ton arme mon vieux et soigne toi, ça ne vaut pas le peine de
mourir pour un salaire de constable. »
Notre couple du moment s'approcha de
l'entré principale tout en s'assurent de leur sécurité. À
l'extérieur il n'y avait que deux personnes affalé sur le sol.
« Nos chemin se sépare ici, dit-il.
Si l'on crois que tu est mon otage, tu seras libre. Alors excuse moi
mais je dois te frapper. »
Elle ferma les yeux en guise
d'acceptation et il s'exécuta mollement devant les caméras de
sécurité. Le coup ne fut sans doute pas brutale, mais ces larmes
lui brisa le cœur.
« Pardonne moi...»
Le nœud à la gorge, il sortis et alla
vers le motocycliste. Celui-ci avais pris les deux balles dans le dos
et respirait à peine. La frayeur lui pris quand il constata que ce
n'étais qu'un adolescents âgé sans doute de treize ans.
La larme a l’œil, il lui demanda :
« Mais pourquoi as tu fait ça pour
moi, grand idiot! »
Avec les force qui lui restais, je
garçon pointa sa poche das la-quel se trouvais une cellulaire, une
oreillette et les clefs de sa monture.
Après un cours appelle au service
d'urgence, le cellulaire sonna de lui même. Une voie masculine lui
dit ces mots.
« Écoute moi bien attentivement et
fait ce que je dit...»
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