Gros gros GROS chapitre en perspective. je n'ai pas sue couper dans l'information, ni l'action. Mais bon, je verrez à çà plus tard, il arrive 4 heurs du matin pour moi...
6 Octobre 2078
Ce matin, tout le monde as les traits
tirer. Pour la plupart, ce sont les activités prévus par les
commerce qui les ont garder éveiller. Restaurent et Bar offrait à
boire à qui conque venait se scotcher sur leur téléviseur pour
voir le départs qui tardais à se faire. Tendis que certain
regardais l'instant présent, d'autre le vivait, soit sur le terrain,
d'autre au bout de leur doigts. Bien que les média traditionnel
parlait d'un retard causer par des difficultés technique la plupart
des citoyens savait ou chercher l'information pour outrepasser la
censure et une fois encore, le bâillon mis au média na fait que
monter la gronde.
D'autre parts, notre jeune demoiselle
chercha désespérément des trace de son frère, et comme à
l'habitude, elle se laissa prendre par les première fausse piste et
se retrouva perdu dans le dédale de l’hôpital. Il va sans dire
que notre disparue étais quelqu’un de très rusé, doubler d'un
bon esprits.
Notre amis le journaliste lui passa
pratiquement la nuit debout à écrire et boire du café pour mettre
en place son plans pour faire de Jane la coqueluche des médias. Bien
malgré tous ces efforts, le fil des actualité étais à ce point
centrer sur l'Agence Aéronautique que Jane comme Kevin passait
inaperçue face au flot d'informations continue attestant et
contestant ce qui se passe sur le cite de l'agence. Il lui étais
difficile de jongler avec les information et la censure en se moment
car le mensonge à cacher était si gros qu'il en étais une vrai
farce. Par dessus son malheur, Il y avait cette jeune fille en pleur
qui n'avait plus que lui comme bouée de sauvetage. Il essaya de
joindre en vain ces contactes de la presse interdite par le
gouvernement, mais ces demandes restais lettre morte. Ismahen devais
trouver une solution et pour se faire, il devais trouver
l'inspiration. Le restaurent ou tout à commencer est un bon point de
départs.
Ce matin là ; sans le savoir,
notre journaliste vertueux avait laisser Jane entre les mains de la
presses écrite autoriser par le gouvernement et du même fait,
l'agence de renseignement intérieur. Dans une entrevue d'allure
plutôt banal, notre jeune fille se démasqua sans méfiance au
autorité, croyant jouer le rôle que lui avait assigner Ismahen.
Assis à une table, dans un café en
plein cœur du centre ville, la jeune fille ainsi qu'un journaliste
et son acolyte prenais parts à interrogatoire.
« Premièrement, je nous présente
Andrew Wilson et James Adam, mon collègue de travail. Il est du
Sun's et moi du Gardian. »
Après les salutation d'usage, Notre
adolescente étais confuse.
« Vous travaillez ensemble? Je croyait
que les périodiques se faisait la guerre pour avoir l'information? »
« On est de vieux amis, rétorqua t-il
nonchalamment. De plus, je lui en dois une pour une autre affaire. »
Mr. Adam ne fit qu'un hochement de la
tête tendis qu'il prenait des notes manuscrites comme un vieux
routier du journalisme. Avants de oser la prochaine question :
« Dite moi, Savez vous ou pourrait se
trouver votre frère? Aurait-il des amis ou des proche ou il aurais
pue aller? »
Sans y penser réellement, elle déballa
qu'il n'aurais pue aller que chez son ex petite copine, car elle et
sa mère ont du déménagé dans un appartement pour la santé de sa
vieil mère. De plus, elle leur dit que s'il se savait rechercher, il
opterais pour une fausse identité, probablement qu'il tenterais de
rejoindre ces contactes sur la toile. Quand Monsieur Wilson lui
demanda s'il connaissait ces personne elle n'eut qu'une réponse :
« Bin là... Je suis pas mon frère.
C'est pas comme si je connaissait tout ce qu'il faisait. D’ailleurs,
j'ai pas trop bien saisi ce qu'on lui voulait. »
Andrew avait du mal à cacher son
rictus face à cette remarque grossière mais au combien niai. Tout
le contraire de James qui resta stoïque en prenant ces notes. Ce
dernier lui demanda même s'il n'avait pas peur qu'il se fasse tuer
s'il insistait trop à se mettre au travers des projets du
gouvernement. Ces mots, glaça le sang de la jeune fille. Elle
avouait ni avoir jamais penser réellement et elle dit encore une
fois qu'elle ne comprenait toujours pas pourquoi on lui voulait du
mal.
«Vous ne savez réellement pas ou ce
trouve Kevin alors. Insista m. Wilson. Vous savez, nous pourrions
faire de lui une personnalité publique, ce qui rendrais difficile
pour le gouvernement de lui porter atteinte. »
Les yeux plein d'eau, suite au émotion
que lui avait causer les dire de monsieur Adam elle fut stupéfait
d'entendre les dire de son second interlocuteur. Le regard fixe, elle
pria de l'excuser et parti pour les toilettes des dames, ce qu'elle
fit promptement. Les cabines étais vide quand elle appela Ismahen,
mais ils n'eut que peut de temps avant qu'une personne fit son
entrer. La conversation fut brève, Il entendis que les premier
sanglotement de l’adolescente qu'il dit :
« Ho, ça sent les problème la.
Trouve un lieux sure et brouille les pistes, a commencer par ton
cellulaire. Je te rappelle dans 3 minutes chronos. »
Quand Jane se retourna, elle vit la
femme qui la surveillait, depuis probablement le débuts. Elle
renifla un coup avent de dire :
«M... ma maman ne répond pas.»
Sur un pas de course, elle partais vers
la sortis quand Monsieur Adams l’interrompue, lui demandant ou elle
partait. À ce moment précis, elle réalisa qu'elle avait encore son
cellulaire en main.
« J'ai peur que quelque chose soit
arriver à ma mère, elle ne décroche pas. »
James Rangea son crayon dans les
annones de son cahier et dit :
« Bien alors dans ce cas, je vous y
conduits de ce pas! »
Elle se savait prise au piège d'une
parts et de l'autre, refuser l'offre dévoilerait ce qu'elle sait.
Elle n'eut d'autre choix que d'accepter. Les peux prirent place dans
une vieil Mini-Cooper grise foncé, l'un des premier modèle
électrique commercialiser par la compagnie. L'engin étais plutôt
habile malgré son poids, nous étions loin des voitures auto-piloter
qui sont désormais la norme.
Bien sûr, les trois minutes passèrent
et le téléphone retentis dans la cabine. Dés lors, le nom
d'Ismahen s'afficha. Aussitôt qu'elle le put, elle ferma son
appareille en disent,
« Ce n'est pas le moment...»
Rendu à une intersection, James brûla
un feux rouge en entamant une manœuvre serrer entre les voitures
pour tourner à gauche. Sous un raffut de klaxon Jane demanda ce qui
lui prenait.
« Nous somme suivis, répondit-il en
accélérant. Les fédéraux nous collent en voiture banaliser depuis
le débuts. »
Jane étais surprise de ces mots. Dans
quel clans était-il? L'action se poursuivit, laissant place au
silence lors d'une poursuite digne des meilleur vidéo capter au
siècle dernier. L'engin sans frein moteur télécommandée ni limite
de vitesse se faufilait au travers des carlingues arrêter. James
coupa par un passage piétons déserter avant de ce faufiler entre
les arbres d'un parc et déboucher dans une ruelle des vieux cartier.
Regardant partout, en espérant passer sous le radar des patrouilles,
Monsieur Adam lança ces quelque phrases :
« Il na vraiment pas de flaire ce
Wilson. Il s’était bien griller à interrogatoire et encore plus
en me faisant confiance... quel idiot. »
« Je ne sait même pas si je peut vous
faire confiance, dit Jane. Hé puis, je ne sais même pas qui vous
êtes. »
Adam, notre tête grise ; lui
répondit sans émotion :
« En effets, ce sont des bonne
questions. La seule personne en qui tu peut avoir confiance, c'est à
toi même. Tans qu'à moi, James suffira même si ce n'est pas mon
nom. Comme tu peut le voir, j'ai rien d'un journaliste... maintenant,
prend ma veste derrière et sort. Il cherche une voiture, pas un
piéton. »
Après avoir vider les poche de la
veste à la demande de James, elle sorti et tendis qu'il repartis,
elle rappela notre journaliste pour un second rendez-vous.
Super!
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