mardi 25 août 2015

L.S. Nortwall part 9

Gros gros GROS chapitre en perspective. je n'ai pas sue couper dans l'information, ni l'action. Mais bon, je verrez à çà plus tard, il arrive 4 heurs du matin pour moi...  

6 Octobre 2078


Ce matin, tout le monde as les traits tirer. Pour la plupart, ce sont les activités prévus par les commerce qui les ont garder éveiller. Restaurent et Bar offrait à boire à qui conque venait se scotcher sur leur téléviseur pour voir le départs qui tardais à se faire. Tendis que certain regardais l'instant présent, d'autre le vivait, soit sur le terrain, d'autre au bout de leur doigts. Bien que les média traditionnel parlait d'un retard causer par des difficultés technique la plupart des citoyens savait ou chercher l'information pour outrepasser la censure et une fois encore, le bâillon mis au média na fait que monter la gronde.

D'autre parts, notre jeune demoiselle chercha désespérément des trace de son frère, et comme à l'habitude, elle se laissa prendre par les première fausse piste et se retrouva perdu dans le dédale de l’hôpital. Il va sans dire que notre disparue étais quelqu’un de très rusé, doubler d'un bon esprits.

Notre amis le journaliste lui passa pratiquement la nuit debout à écrire et boire du café pour mettre en place son plans pour faire de Jane la coqueluche des médias. Bien malgré tous ces efforts, le fil des actualité étais à ce point centrer sur l'Agence Aéronautique que Jane comme Kevin passait inaperçue face au flot d'informations continue attestant et contestant ce qui se passe sur le cite de l'agence. Il lui étais difficile de jongler avec les information et la censure en se moment car le mensonge à cacher était si gros qu'il en étais une vrai farce. Par dessus son malheur, Il y avait cette jeune fille en pleur qui n'avait plus que lui comme bouée de sauvetage. Il essaya de joindre en vain ces contactes de la presse interdite par le gouvernement, mais ces demandes restais lettre morte. Ismahen devais trouver une solution et pour se faire, il devais trouver l'inspiration. Le restaurent ou tout à commencer est un bon point de départs.

Ce matin là ; sans le savoir, notre journaliste vertueux avait laisser Jane entre les mains de la presses écrite autoriser par le gouvernement et du même fait, l'agence de renseignement intérieur. Dans une entrevue d'allure plutôt banal, notre jeune fille se démasqua sans méfiance au autorité, croyant jouer le rôle que lui avait assigner Ismahen.

Assis à une table, dans un café en plein cœur du centre ville, la jeune fille ainsi qu'un journaliste et son acolyte prenais parts à interrogatoire.
« Premièrement, je nous présente Andrew Wilson et James Adam, mon collègue de travail. Il est du Sun's et moi du Gardian. »

Après les salutation d'usage, Notre adolescente étais confuse.
« Vous travaillez ensemble? Je croyait que les périodiques se faisait la guerre pour avoir l'information? »

« On est de vieux amis, rétorqua t-il nonchalamment. De plus, je lui en dois une pour une autre affaire. »

Mr. Adam ne fit qu'un hochement de la tête tendis qu'il prenait des notes manuscrites comme un vieux routier du journalisme. Avants de oser la prochaine question :
« Dite moi, Savez vous ou pourrait se trouver votre frère? Aurait-il des amis ou des proche ou il aurais pue aller? »

Sans y penser réellement, elle déballa qu'il n'aurais pue aller que chez son ex petite copine, car elle et sa mère ont du déménagé dans un appartement pour la santé de sa vieil mère. De plus, elle leur dit que s'il se savait rechercher, il opterais pour une fausse identité, probablement qu'il tenterais de rejoindre ces contactes sur la toile. Quand Monsieur Wilson lui demanda s'il connaissait ces personne elle n'eut qu'une réponse :
« Bin là... Je suis pas mon frère. C'est pas comme si je connaissait tout ce qu'il faisait. D’ailleurs, j'ai pas trop bien saisi ce qu'on lui voulait. »

Andrew avait du mal à cacher son rictus face à cette remarque grossière mais au combien niai. Tout le contraire de James qui resta stoïque en prenant ces notes. Ce dernier lui demanda même s'il n'avait pas peur qu'il se fasse tuer s'il insistait trop à se mettre au travers des projets du gouvernement. Ces mots, glaça le sang de la jeune fille. Elle avouait ni avoir jamais penser réellement et elle dit encore une fois qu'elle ne comprenait toujours pas pourquoi on lui voulait du mal.

«Vous ne savez réellement pas ou ce trouve Kevin alors. Insista m. Wilson. Vous savez, nous pourrions faire de lui une personnalité publique, ce qui rendrais difficile pour le gouvernement de lui porter atteinte. »

Les yeux plein d'eau, suite au émotion que lui avait causer les dire de monsieur Adam elle fut stupéfait d'entendre les dire de son second interlocuteur. Le regard fixe, elle pria de l'excuser et parti pour les toilettes des dames, ce qu'elle fit promptement. Les cabines étais vide quand elle appela Ismahen, mais ils n'eut que peut de temps avant qu'une personne fit son entrer. La conversation fut brève, Il entendis que les premier sanglotement de l’adolescente qu'il dit :
« Ho, ça sent les problème la. Trouve un lieux sure et brouille les pistes, a commencer par ton cellulaire. Je te rappelle dans 3 minutes chronos. »

Quand Jane se retourna, elle vit la femme qui la surveillait, depuis probablement le débuts. Elle renifla un coup avent de dire :
«M... ma maman ne répond pas.»

Sur un pas de course, elle partais vers la sortis quand Monsieur Adams l’interrompue, lui demandant ou elle partait. À ce moment précis, elle réalisa qu'elle avait encore son cellulaire en main.
« J'ai peur que quelque chose soit arriver à ma mère, elle ne décroche pas. »

James Rangea son crayon dans les annones de son cahier et dit :
« Bien alors dans ce cas, je vous y conduits de ce pas! »

Elle se savait prise au piège d'une parts et de l'autre, refuser l'offre dévoilerait ce qu'elle sait. Elle n'eut d'autre choix que d'accepter. Les peux prirent place dans une vieil Mini-Cooper grise foncé, l'un des premier modèle électrique commercialiser par la compagnie. L'engin étais plutôt habile malgré son poids, nous étions loin des voitures auto-piloter qui sont désormais la norme.

Bien sûr, les trois minutes passèrent et le téléphone retentis dans la cabine. Dés lors, le nom d'Ismahen s'afficha. Aussitôt qu'elle le put, elle ferma son appareille en disent,
« Ce n'est pas le moment...»

Rendu à une intersection, James brûla un feux rouge en entamant une manœuvre serrer entre les voitures pour tourner à gauche. Sous un raffut de klaxon Jane demanda ce qui lui prenait.

« Nous somme suivis, répondit-il en accélérant. Les fédéraux nous collent en voiture banaliser depuis le débuts. »

Jane étais surprise de ces mots. Dans quel clans était-il? L'action se poursuivit, laissant place au silence lors d'une poursuite digne des meilleur vidéo capter au siècle dernier. L'engin sans frein moteur télécommandée ni limite de vitesse se faufilait au travers des carlingues arrêter. James coupa par un passage piétons déserter avant de ce faufiler entre les arbres d'un parc et déboucher dans une ruelle des vieux cartier. Regardant partout, en espérant passer sous le radar des patrouilles, Monsieur Adam lança ces quelque phrases :

« Il na vraiment pas de flaire ce Wilson. Il s’était bien griller à interrogatoire et encore plus en me faisant confiance... quel idiot. »

« Je ne sait même pas si je peut vous faire confiance, dit Jane. Hé puis, je ne sais même pas qui vous êtes. »
Adam, notre tête grise ; lui répondit sans émotion :
« En effets, ce sont des bonne questions. La seule personne en qui tu peut avoir confiance, c'est à toi même. Tans qu'à moi, James suffira même si ce n'est pas mon nom. Comme tu peut le voir, j'ai rien d'un journaliste... maintenant, prend ma veste derrière et sort. Il cherche une voiture, pas un piéton. »

Après avoir vider les poche de la veste à la demande de James, elle sorti et tendis qu'il repartis, elle rappela notre journaliste pour un second rendez-vous.


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